Chapitre 4 :
La réalisation d’un rêve n’est souvent pas
croyable, on croit qu’ils sont impossibles, mais il y a toujours
un petit espoir, qui ne tient qu’à un fil, certes, mais
ça fait toujours un espoir. Chrono ne croyait vraiment pas
réaliser son rêve de voyager dans le temps, mais
c’est ce petit espoir, qu’il a obtenu grâce au bout
de papier froissé, retrouvé dans le sous-sol de son
terrain, qui a fait qu’il en est là maintenant.
La salle de pilotage était remplie de boutons avec chacun
leur utilité, plus ou moins importante ; un bouton servait
à assombrir ou éclaircir le par brise, un bouton servait
à faire de délicieuses pizzas, mais il y avait au milieu
une manette, la manette que Chrono avait vu dans tous ses rêves :
La manette de Pilotage. Notre jeune héros n’en revenait
toujours pas, il allait piloter son rêve le plus fou.
Le siège de cuir noir où Chrono était assis
était à la fois très confortable et très
inconfortable, confortable parce qu’il était bien
douillet, comme Chrono l’aime, et très inconfortable parce
qu’il était assez reculé par rapport aux commandes
de la machine, Chrono devait donc se pencher vers l’avant, et
là, ce n’était pas de tout confort …
Une fois installé convenablement, Chrono appuya sur le
bouton « START » , le bouton démarreur de son
rêve. Le moteur marchait maintenant normalement, la machine
était prête à décoller, c’est ce
qu’elle fit justement, elle décolla, et Chrono pilota, il
pilota très bien d’ailleurs. Et le voyage vers le
passé commença, il voyait les années
défiler en quelques minutes, les siècles en quelques
heures, il voulait voir Trunks, le mystérieux jeune homme du
passé. Les 500 ans étaient passés, le moteur de la
machine s’arrêta, et Chrono faisait atterrir la machine. Il
était arrivé, enfin : La cité du Passé.