La vraie histoire de Jidanro

Fiction : La vraie histoire de Jidanro.
Prologue :

Cette histoire a débuté juste après la rencontre entre Bulma et Sangoku.
A cet instant un homme plus puissant que la moyenne s’était révélé, tuant des adversaires qui avait juste eu l’audace de s’élever devant lui et lui dire qu’ils n’étaient pas en accord avec lui.
Ces buts étaient simples : détruire, pour reconstruire. C’est ce qu’il disait quand on le lui demandai. Cela signifiait simplement qu’il voulait prendre la possession du monde et détrôner
le roi.
Cet homme portait le nom de Thouga.
Il détruisait sans cesse, jusqu´à des villes pour atteindre son but.
C’est alors que la légende parle de Jidanro, il était selon beaucoup, une personne qui n’avait peur de rien, une personne détestant voir la souffrance sévir. Et c’est ainsi qu’il se présenta seul devant Thouga.
C’est à ce jour que le combat entre Thouga et Jidanro eut lieu. Jidanro portait les espoirs du peuple en lui. Et il eut raison de son adversaire. Mais on ne le revit plus jamais. Personne ne l’avait pourtant vu disparaître. Personne ne l’avait non plus vu tuer Thouga. Mais les faits étaient bel et bien là, Thouga était mort et la paix restaurée.

C’est du moins ce que raconte la légende, mais comme toutes les histoires racontées, elle comporte une marge d’erreur. Bien qu’ici cette marge ait été largement dépassée. La légende qui perdure encore et qui a fait d’un homme un héros aurait elle eu le même effet si les gens avaient connu la vraie histoire.

le plus dur pour vous ça va etre d'attendre la suite

Chapitre 1 : Qui est Jidanro ?

A bien des égards, c’était un homme simple. Personne en ayant entendu son histoire n’aurait consenti à la croire si elle l’avait croisé.
Il naquit sous le nom de Jifu. C’était un homme d’une vingtaine d’années, de physique peu avantageux. Orphelin de naissance, il avait vécu une partie de son enfance dans une famille aux mœurs douteuses. Autant qu’il s’en souvienne, il avait toujours eu cette force hors du commun, cette force qu’il connaissait si bien, mais qui l’avait pourtant obligé à commettre des actes dont il fut peu fier après les avoir commis.
C’est ainsi qu’il tua malencontreusement sa mère qui le frappait, mais ce crime fut jugé comme étant de la légitime défense. Après cela, sa famille le fit souffrir car tous lui en voulaient pour ce crime.
Et c’est aussi à cause de cette force qu’a l’âge de douze ans, il tua un de ses camarades de classe qui depuis des mois le harcelait.
Après ce nouveau meurtre, il s’enfuit, laissant son abominable famille derrière lui, avec ses soucis. Ce nouveau meurtre ne lui fut jamais reproché fautes de preuves.
Mais même en s’étant enfui il ne pouvait échapper à sa propre conscience. Sa conscience qui le rongea durant toutes ses années où il vécut en ermite, dans une grande forêt lugubre, où pour seule compagnie, il avait les animaux.
C’est à l’âge de quinze ans qu’il réapparut en public, il fut alors recueilli par un homme qui vivait seul dans une grande maison. Il était reparu mais dans un état pitoyable. Mais heureusement pour lui, il était méconnaissable, et personne n’aurait eu l’idée de faire le rapprochement entre cet enfant disparu, et que tout le monde croyait mort, et ce jeune homme qui sortait de nulle part. Il prit ainsi le nom de Jidanro. Maintenant sa personnalité était différente, il avait vécu trois années tout seul à se morfondre sur ses crimes. Sa personnalité était maintenant imprévisible. Mais son comportement s’améliora grâce à son sauveur, cet homme qui l’avait recueilli, il était si bon envers Jidanro, que celui-ci ne pouvait avoir de mauvaises pensées. C’est ainsi que sa façon de vivre redevint normale.
Il contrôlait maintenant ses émotions, et ses erreurs d’autrefois ne se reproduiraient plus.
Mais maintenant qu’il avait réussi à contrôler sa force, le problème était que son esprit était toujours perturbé. On ne se remet pas facilement d’une vie comme la sienne.

Chapitre 2: Le retour à la réalité


Trois années passèrent, les rapports entre Jidanro et son bienfaiteur, Kofut, étaient vraiment incroyables pour le jeune homme. Cet homme représentait tout ce qu´il n´avait jamais eu, un père qui l´aimait et un confident.
Un jour qu´ils se baladaient dans le parc, Jidanro ressentit une sensation qu´il n´avait jamais connue, il eut l´impression d´etre frolé par quelque chose. Le problème était là, rien ni personne à ce moment la, n´aurait pu avoir le moindre contact avec lui. Son père s´étant éloigné quelque peu, cela ne pouvait être lui. Mais alors, que cela pouvait il bien être. C´est en revenant sur ses pas qu´il s´en aperçu enfin, et alors une prodigieuse sensation l´envahie. Il venait de se rendre compte que ce qui l´avait touché n´était autre que la puissance que possédait un passant à l´air ordinaire. Mais c´est alors qu´il se posa la question, comment avait il pu le deviner, alors qu´il n´avait jamais ressenti cela auparavant. Mais finalement, qu´importe se dit il. L´envie de se battre l´avait envahie, l´idée de tester sa force le tenaillait. Il voulait se prouver à lui meme qu´il pouvait utiliser sa force.
Il engagea ainsi une courte discussion:
<<_ Eh, toi là, je veux me battre contre toi!
_ Pourquoi ferais-je cela,répliqua cet homme, dont l´air était indifférent. Je n´ai aucune raison de le faire.
_ Fais le, c´est tout, de toute façon, je ne te laisse pas le choix.>>
Jidanro paraissait énervé, pourtant cet homme ne lui avait rien fait. Il avança vers le passant à toute vitesse, et plus il se rapprochait, plus il sentait que le niveau force de son adversaire était proche du sien.
<< On a la meme force pensa t´il>>
Il se jeta sur lui, le poing en avant, son adversaire se protégea mais fut projeté en arrière par la violence du choc.
Et c´est alors que l´homme fit un combo de coups que malheureusement Jidanro ne put éviter.
C´est ce moment que choisit Kofut pour revenir, et c´est ainsi qu´il vit son protégé se faire battre par un inconnu.
Peut etre se dit il que cet homme etait quelqu´un du passé de Jidanro, mais cette pensée se fit contredire quand son protégé tomba à terre.
<< _ Stop! Cela suffit, tu ne m´as meme pas touché, abandonne, je suis trop fort, dit le passant, toujours indifférent.
_ Non! Je veux te battre!
_ On ne se connait meme pas.
_ Cela ne change rien, répliqua Jidanro que Kofut ne reconnaissait plus.>>
Il se releva alors et fonça sur son adversaire, Kofut vit alors l´expression de l´homme et parti pour se mettre entre les deux.
Le passant était prêt à tuer cette fois ci, et c´est ce qu´avait vu Kofut. Les deux adversaires absorbés par le combat ne le virent pas.
Dans l´instant qui suivit on n´entendit le choc, mais précédant cela, on entendit les mots:
<<Mon fils...>>
C´est ainsi que mourut la seule personne ayant jamais aimé Jidanro. Prononçant des mots qui attristèrent celui ci., car l´homme qui venait de mourir venait de lui avouer qu´il le considérait comme un fils.
La scène avait été vue par plein de témoins, et devant cette foule, Jidanro s´enfuit sachant ce qui l´attendait.
Il emporta dans sa fuite le corps de son père. Mais s´il fuyait, ce n´était pas par crainte, mais par désespoir.
Il repartit dans la forêt, il y enterra son père. Mais c´était le coeur lourd qu´il le fit.
Il avait choisit la forêt car il avait compris pourquoi l´inconnu l´avait battu, c´était car il avait de l´expérience et qu´il possédait son propre style de combat, avec ses techniques.
Son seul souhait était maintenant apprendre à se battre, car il avait appris a maitriser sa force mais n´avait aucun talent pour ce qui était du combat.

Très bien continue !

merci^

Chapitre 3: Comment retrouver l´inconnu?


Après un entrainement de quatre ans, Jidanro décida que son stytle de combat était invincible. Il avait comprit après son combat, quel style il allait utiliser. Il avait toujours été émerveillé par les animaux, et c´est sur leur façon de vivre qu´il avait basé son mode de vie et d´entrainement. Il s´était surtout axé sur certains animaux: la chouette car c´est un animal furtif, le jaguar qui est un animal rapide, l´arraignée qui tend ses pièges, et bien d´autres encore.
Ainsi, il se donna une apparence plus civilisée et partit pour la ville. Mais ne sachant pas où vivre, il choisit un foyer de sans abris. Le lendemain, il le quitta, il allait maintenant rechercher l´homme qui l´avait battu. Il savait comment il allait faire, il y avait pensé tout le temps de son entrainement. C´est en ressentant sa puissance. Bien sûr, il s´était entrainé dans une forêt où il ne croisait personne, sa tentative resta donc vaine, car il en était incapable. Il chercherait donc la sensation qu´il avait ressenti quatre années plus tot, et qu´il n´avait jamais pu oublier. Mais là encore, sa tentative ne marcha pas. Après cinq jours de recherches acharnées, il n´avait toujours rien trouvé. Mais son caractère l´empêchait d´abandonner, et il continua donc sa recherche. La ville était grande, et il finit au bout d´un mois par l´avoir visitée en chaque point. C´est alors qu´il lui vint à l´esprit que l´homme pouvait être n´importe où dans le monde, ou meme mort. Il se décida ainsi à parcourir le monde, mais comme le monde était vaste, il allait devoir se renseigner auprès des gens. Un homme d´une si grande force, cela ne devait pas passer inaperçu. Il demandait au gens qu´il croisait, mais ceux ci étaient peu disposés à lui répondre au vu de son apparence et de l´étrangeté de sa question, qui était toujours la même: << Connaitriez vous un puissant combattant? >>. Il était direct et ne comprenais pas pourquoi personne ne lui répondait, jamais il ne pensait à présenter sa requête d´une autre manière, et de cette façon, jamais personne ne lui répondait. Un jour qu´il allait poser sa question à une personne, il fut prit de court:
<<_ Bonjour, pouvez vous m´aider? J´ai un problème avec ma voiture, dit cet inconnu
_ euh...oui bien sûr, répondit Jidanro, qu´est ce que je dois faire?
_ Si ça ne vous dérange pas, j´aimerais que vous la poussiez avec moi le temps que l´on trouve un réparateur.
_ D´accord,répondit il, mais vous avez l´air fatigué, vous n´avez qu´a vous installer dedans je vais pousser. Mais, pourquoi ne pas la mettre sous forme de capsule?
_ Il y a un problème avec la commande. Je vous remercie, êtes vous sûr de pouvoir y arriver tout seul
_ Sans aucun problème>>
Il commença à pousser, il était bien sûr très rapide, ils se retrouvèrent bientot devant un magasin spécialisé. Il s´arreta alors et vit que l´homme était étonné par sa rapidité et sa force. Jidanro lui posa alors sa question, il était incroyable de voir à quel point les gens sont aimables quand on leur rend service. L´homme lui dit qu´il avait entendu une rumeur comme quoi un homme avait réussi à vaincre à lui tout seul, une cinquantaine d´hommes armés, quelques jours plus tôt. Et il lui indiqua le chemin pour aller dans la ville où cela avait eu lieu.
Il fallut deux jours à Jidanro pour y arriver, et ce qu´il vit alors n´était qu´un champ de ruines. C´est alors qu´il avait compris, il l´avait trouvé, même s´il n´était plus là, il pouvait le retrouver à la trace comme un animal. Car l´odeur était maintenant imprégnée dans tout ce carnage. Et c´est ainsi qu´il partit à sa rencontre, mais les choses étaient maintenant simplifiées. Il n´avait plus qu´à marcher en se guidant grace à son odorat. Il arriva ainsi dans une petite ville du nom de Plyjus, il arriva devant un bâtiment, y entra, et enfonça la porte.
Et c´est alors qu´il se retrouva enfin devant la personne. Il fut alors déçu de constater qu´elle n´était pas celle qu´il cherchait. C´était un homme dont l´état était encore pire que celui de Jidanro, et de près son odeur était encore pire que celle que suivait Jidanro. Cette odeur c´était celle du sang.

Chapitre 4: Entre les mains de l´ennemi


L´étranger le regarda, il y eut un long moment où ces deux personnes se regardèrent fixement. Puis Jidanro prit déçu par la personne qu’il venait de découvrir parti. Il n´avait même pas eu l´envie de découvrir qui était cette personne. Cette personne qui avait tué tant de monde, qui portait en elle l´odeur infecte du sang, celle qui avait réduit à l´état de ruines une ville entière. Même sachant que cette personne devait avoir une force formidable, pour avoir détruit une ville, il n´avait pas eu envie de se battre, de se prouver à lui-même son incroyable puissance.
Il avait déjà quitté la ville lorsqu´il s´aperçut qu’il était suivi. Dès le moment où il avait rencontré cet homme, il avait perdu son intérêt, et c´est pourquoi il ne s´était pas aperçu de sa présence derrière lui. Son odeur avait perdu tout intérêt. La seule raison pour laquelle Jidanro avait compris qu’il était suivi, c´est parce que l´inconnu était sorti de sa cachette.
Jidanro prit alors la parole:
<<_ Que me veux tu? Pourquoi tu m´as suivi?
_ C´est plutôt à moi de poser ses questions, tu ne crois pas? dit cet homme
_ Je te repose la question, que me veux tu? dit Jidanro
_ Et bien écoutes, tu as défoncé ma porte, j´aimerais au moins savoir qui tu es.
_ Je ne suis rien de plus qu´un homme, rétorqua Jidanro qui commençait à s´impatienter.
_ Rien de plus, tu en es sûr? Tu m´as l´air beaucoup plus pourtant.
_ Que veux tu dire? S´étonna t-il
_ Je peux voir ta puissance, je peux du moins l´imaginer.
_ Tu n´es qu´un charlatan, dit Jidanro qui voulait couper court à cette discussion, mais sachant que son interlocuteur ne mentait pas
_ Veux tu te battre contre moi? Proposa alors l´inconnu.
_ Non, tu ne m´intéresses pas.
_ Alors pourquoi être venu me voir? Demanda l´homme.
_ Ce n´est pas toi que je cherchais, répondit Jidanro.
_ Ah, voilà qui est plus clair, dit il, ironique. Mais ce n´est pas une raison pour ne pas s´excuser pour avoir détruit ma porte.
_ Je ne vois pas l´intérêt de cette discussion, dit Jidanro qui commençait à partir.
_ Je m´appelle Thouga, et toi c´est comment?
_ Tu es bien chiant toi! Je suis Jidanro, répondit Jidanro énervé.>>
L´homme fonça alors sur lui avec une rapidité extraordinaire, Jidanro ne s´y attendait pas, mais il para le coup avec aisance. Il contra alors directement avec trois coups de pieds qui propulsèrent l´homme deux mètres plus loin.
<<_ Rejoins moi, ensemble nous feront de grandes choses, dit alors Thouga.
_ Je n´ai pas besoin de compagnon, répondit Jidanro implacable.>>
Soudain Thouga le frappa sans que Jidanro n´ait eu le temps de rien faire.
<<_ C´est tout simplement car c´est dans notre intérêt, ensemble nous pourront mettre le monde à nos pieds. Tu pourras devenir bien plus fort si tu restes avec moi, dit Thouga
_ Le pouvoir ne m´intéresse pas, la force j´en ai déjà pas mal, s´entêtait Jidanro
_ Mais cette force ne suffit pas pour me vaincre tu l´as bien vu. Et puis je pourrais t´aider à trouver l´homme que tu cherches. Cet homme que tu veux retrouver à tel point que tu m´as suivi jusqu’ici. À deux, on pourrait le trouver plus vite. Se serait une sorte d´entraide: tu m´aides à prendre une place au pouvoir et je t´aide à devenir plus fort et retrouver ton homme.>>
Jidanro avait une flamme qui brillait dans les yeux. Il n´y avait pas pensé plus tôt, mais cet homme pouvait en effet l´aider à retrouver l´assassin de son père. Thouga avait réussi à deviner qu´il était plus fort que la moyenne, sans doute avait il ressenti sa puissance. Et si c´était cela il pourrait peut-être ressentir celle de l´homme recherché.
<<_ J´accepte ta proposition.>>

Chapitre 5: Les deux compagnons


<<_ J´accepte ta proposition, répéta Jidanro, mais j´y ajoute une condition.
_ Laquelle? Demanda Thouga
_ Je tiens à ce que personne ne sache que je serais de ton côté.
_ C´est étonnant de la part de quelqu´un qui n´a pas l´air de se soucier de l´opinion des autres. Pourquoi une telle requête?
_ Je n´y tiens pas, c´est tout! s´énerva Jidanro. Si tu ne l´acceptes pas, je pars.
_ T´emballes pas, c´était juste une question. Je suis curieux de nature. Pour moi c´est d´accord, tu agiras dans l´ombre.
_ Je ne tiens pas non plus à être ton chien, dit Jidanro
_ On discutera ensemble de chaque décision avant de les prendre, ça te convient?
_ C´est parfait, annonça Jidanro.>>
Et c´est ainsi que Jidanro devint le compagnon de route d´un horrible assassin. Le compagnon d´un homme qui avait détruit au moins une ville à lui tout seul. Mais peu importait à Jidanro, du moment qu’il retrouvait l´homme qu´il cherchait. Il était près à faire les pires choses pour avoir ce qu´il voulait. Près à détruire des milliers de vies s´il le fallait, voilà ce qu´était devenu Jidanro.
Ensemble, ils commencèrent le projet de destruction de Thouga, il s´entrainaient au combat le soir. Jidanro faisait de nets progrès dans ses aptitudes au combat, c´est ce que remarqua Thouga. Ses techniques devenaient de jour en jour plus puissantes, sa vitesse accroissait rapidement, mais il faut dire que Thouga était encore au-dessus de son niveau.
En ce qui concernait le projet de Thouga, les deux hommes accomplissaient leurs missions différemment. Thouga faisait tout pour se faire remarquer, il laissait des hommes en vies pour raconter se qu´il avait fait, il laissait toujours du temps aux adversaires pour découvrir son visage. Alors que Jidanro, lui, tuait toutes les personnes qui voyaient son visage, se cachait la plupart du temps, et attaquait ses cibles telle une chouette, c´est à dire que si sa cible le voyait, elle n´avait plus le temps de rien faire, elle était prise au piège. Ils accomplissaient chacun les missions qu’il s´étaient donnés la veille et se retrouvaient le soir.
Mais un soir Jidanro posa la question qui lui tenait à coeur depuis longtemps:
<<_ Dis, quand est ce que tu vas m´aider?
_ Je t´aide déjà, tu deviens de plus en plus fort, répondit l´autre
_ Oui mais selon nos termes, tu dois m´aider à retrouver quelqu´un.
_ Oui tu as raison mais comment veux tu que je t´aide, si tu ne me dis pas comment il est, où comment peut on le chercher.
_ Eh bien... commença Jidanro, j´avais penser que tu pourrais peut être le trouver par rapport à sa puissance...
_ Oui mais il faut que tu m´aides un peu, décrit moi alors sa puissance.
_ À l´époque, il était plus fort que moi, mais depuis j´ai fait pas mal de progrès, et aussi grâce à toi. Donc, je dirais qu´il est fort, mais pas autant que moi. Disont qu´il est largement plus fort que la moyenne. Il se trouvait au moment où je l´ai vu, dans une ville du nom de Guinaire... c´est loin d´ici vers le sud-est.
_ Heureusement que les forces de la natures ne sont pas nombreuses, dit Thouga avec un grand sourrire. Des forces extraordinaires, je n´en ressens que très peu, il doit y en avoir une dizaine sur toute la terre.
_ Aide moi! Ordonna Jidanro.
_ Laisse moi deux jours et je te donnerais la position exacte de toutes ces personnes.>>

Chapitre 6 : La recherche est maintenant plus facile


Deux jours se furent écoulés lorsque Jidanro revint voir Thouga. Il trouva celui-ci en pleine reflexion.
<<_ Tu as trouvé ce que je t’ai demandé? Demanda Jidanro
_ Bien sûr! Je te n’accompagnerai pas, tu devras te débrouiller tout seul pour savoir qui celui qui possède la force, prévint Thouga.
_ Aucun problème, mais comment est ce que je vais savoir leur position exacte? S’inquiéta-il.
_ Je vais te donner une carte du monde, dessus j’ai entouré les endroits où se trouvent les personnes à forte puissance. Le cercle est plus ou moins grand, selon si dans les deux jours, elle s’est beaucoup déplacée. Certains sont très petits, par exemple, il y a une des forces qui n’a pas bougé en deux jours, indiqua Thouga.
_ Alors donne moi cette carte, je pars maintenant.
_ Quelle détermination, se moqua Thouga.>>
Il lui tendit la carte, Jidanro la prit, la regarda un long moment, puis la rangea dans un sac. Ils se dirent alors au revoir, et se séparèrent enfin.
Jidanro choisit la facilité, il allait commencer ces recherches sur les endroits marquer par des plus petits cercles. Il partit donc en direction du lieu où le cercle était le plus petit. Cet endroit se situait en pleine mer. Arrivé à la côte, il déracina un arbre, il n’en prit que le tronc et une branche : c’était ce qui allait lui servir à traverser. Il mit quelques heures avant d’arriver devant une toute petite île, où il n’y avait qu’une seule maison. Il s’arrêta sur cette île, il fit alors le tour de la maison. Il n’y avait personne dehors. Il alla donc frapper à la porte, mais personne ne répondit. Il décida alors de rentrer, il ouvrit la porte, elle était ouverte, et entra. Il lui vint alors à l’oreille une forte musique, il s’avança. C’était le son d’un téléviseur, il trouva alors une personne. Un vieil homme chauve qui regardait l’écran en bougeant dans tous les sens et en parlant tout seul. L’homme ne fit même pas attention à lui, et Jidanro ne fit rien pour lui indiquer sa présence. Il fit alors le tour de la maison, monta l’escalier et n’y trouva personne d’autre. Il redescendit alors et passa devant l’homme. Il n’avait pourtant pas l’air si fort se dit Jidanro. Jidanro était pourtant sûr de ne pas s’être trompé de lieu. C’était donc bien cet homme qui possédait cette puissance. Jidanro partit alors, le vieux personnage ne l’intéressait pas, la seule personne qui l’intéressait, il allait bientôt la tuée. L’homme ne s’aperçut toujours pas de sa présence, Jidanro repartit alors en pleine mer, il sortit alors la carte de son sac, et choisit sa nouvelle cible, un autre lieu, mais pas très éloigné. Il arriva sur une plage où il laissa son embarcation, et se dirigea vers sa destination.
Il n’était plus très loin maintenant. Il se dirigeait vers un petit village selon la carte, et il apercevait au loin des maisons, ça devait être là. Il arriva au village, et une voix lui vint alors :
<<_ Je t’attendais!>>

Chapitre 7: la mauvaise nouvelle


<<_ Comment pouvais-tu m´attendre? dit Jidanro. Je n´ai dit à personne que je venais ici, de plus, hier, je ne savais même pas que je viendrais ici. Alors dis-moi, comment aurais tu pu le savoir? Tu dois te tromper de personne, et me confondre avec un autre.
_ Oh non, je ne te confonds pas, répondit l´autre. Je suis Hurtio, et tu devais être en train de me chercher.
_ Pourquoi est ce que te chercherais-je? demanda Jidanro. Et surtout comment sais-tu que je cherche quelqu´un?
_ Tant de questions à la fois, ironisa Hurtio. Je sais que tu cherches quelqu´un car je sens ta puissance depuis un moment, et je sais que tu t´es approché il y à peu, de quelqu´un possédant une grande puissance, et que maintenant tu te dirigeais droit vers ce petit village qui possédait lui aussi quelqu´un ayant une grande puissance. Et je sais que c´est moi que tu cherches car je suis la personne qui possède une grande puissance dans ce village. Et sa que je viens de te dire montre que je dis la vérité.
_ Tu n´es donc pas la personne que je cherche, annonça Jidanro à cet inconnu. Je te vais donc te dire adieu.
_ Tu vas partir? Certainnement pas! déclara Hurtio. Cela fait longtemps que j´attends qu´un adversaire valeureux viennes dans ce village, et je ne vais pas te laisser partir comme ça, nous allons donc combattre!>>
Jidanro s´y était attendu, il pensait bien qu´il ne ferait pas ce voyage sans combattre, mais il ne pensait pas que cela commencerait si tôt. Son adversaire s´élança sur lui, Jidanro le vit facilement arriver et lui donna un coup de poing. Mais son adversaire ne fut pas touché car il n´était pas devant lui, mais derrière. Il frappa Jidanro sans que celui-ci ne puisse rien faire, Jidanro se releva et ne vit pas son adversaire. Il ne vit même pas d´où venais le second coup, il se retrouva à nouveau par terre sans qu´il n´ait su comment. Il avait sous-estimé son adversaire, et maintenant il le regrettait car celui-ci avait largement pris l´avantage dans ce combat. Il se releva à nouveau mais cette fois ci sauta le plus haut qu’il pouvait. De la haut, il verrait sans doutes son adversaire. Et d´ailleurs, il le vit, avec l´élan qu´il avait il, Jidanro allait lui foncer dessus. Il fonça à toute vitesse sur son adversaire, qui ne bougeait pas. Au tout dernier moment, Hertio se déplaça légèrement de côté, mais Jidanro s´y était attendu, et avec la force de ses poings percuta le sol et se propulsa sur son adversaire. Il le percuta avec ses pieds en plein visage, c´était un coup violent qui assomma son adversaire. Jidanro le laissa là. Maintenant qu´il était vaincu, il pouvait partir tranquillement. Mais à peine avait-il quitté le village que quelqu´un l´appela. Jidanro se retourna, cette voix lui était familière, mais il ne vit personne. La voix le rappela à nouveau, Jidanro se retourna encore, et ne vit toujours rien. Il allait repartir, quand il vit que la personne qui l´appelait était juste devant lui. Jidanro était étonné, comment avait-il put ne pas s´apercevoir du déplacement de l´homme juste devant son nez.
<<_ Salut, alors comment se passe ton voyage? demanda Thouga
_ Pourquoi es tu venu?
_ J´ai oublié de te dire un truc avant que tu partes, et j´ai préféré venir t´en parler, dit simplement Thouga. Je t´ai dit que je ressentais une dizaine de fortes puissances, mais ce que je t´ai pas dit c´est que, quand deux grandes forces sont proches, je ne ressent que la plus puissantes des deux. C´est à dire qu´il peut y avoir dans le même cercle deux ou trois grandes puissances, peut être même plus
_ Cela veut tout simplement dire que ça va rallonger ma recherche, dit Jidanro de mauvaise humeur.>>

voila^^

il n'y a pas encore de suite qui est été faites, peut etre une suite cette après midi

Une suite exclusive à e forum ???

oui je vais d'ailleurs envoyer le lien sur jv.com

Oui fait nous lire la suite de ta fic en avant première à chaque fois :D
ça encouragera ceux qui ne sont pas encore inscrits sur ce forum à venir ^^

Bonne idée ! Tu mets ta fic 2 jours avant sur le forum, et tu mets un lien sur jv.com où tu précises que ta fic est en ligne sur ce forum, au bout de 2 jours, tu peux la poster sur jv.com...

J'ai toujours de bonnes idées :P

pas en avant première en exclusivité sur ce forum

je commence a faire la suite^

vous la voulez?

bien sur

ben vous l'aurez pas.


avant une heure

Chapitre 8: L'apogée de mon art


<<_ Indique moi où sont les puissances les plus fortes, ordonna Jidanro
_ Je vais te monter celle que je ressens le plus, c'est celle ci, je suis sûr que là-bas, tu trouveras ce que tu cherches.
_ Il y a intérêt, répliqua Jidanro. >>
Ils se séparèrent ainsi. Chacun de leur côté, Jidanro vers son objectif, et Thouga vers son prochain massacre. Jidanro prit donc le chemin le plus court pour aller là où son objectif le menait. Ce chemin aller être long, il le savait, il devrait faire une pause à un moment ou à un autre. Et c’est ainsi qu’a mi-parcours, il s’arrêta dans une ville, pour manger, boire, et faire une pause. Depuis le temps qu’il attendait de revoir l’inconnu, il n’était plus à quelques heures près. Ainsi, il se décida ç s’arrêter pour dormir dans une auberge, il paya avec de l’argent qu’il avait pris à ces victimes, quand il se battait pour Thouga. Partout où il allait dans la ville, il n’entendait parler que d’une seule personne, Thouga. Ses massacres étaient racontés partout en ville, par les passants, les télévisions, les radios… Jidanro en fut étonné. Il voyait même des vidéos ou Thouga parlait, ou se battait. Cette affaire était devenue une affaire mondiale. Jidanro entendit sur un écran géant dans la ville qu’on recherchait des personnes capables de se battre, pour terrasser l’ennemi. Jidanro pensait bien sûr que personne ne pourrait battre un adversaire d’un tel niveau, même lui en était incapable. Le lendemain, il repartit, il ne lui restait plus que la moitié du chemin à parcourir. Finalement, il y arriva, le cercle représentait une grande plaine sur sa carte, elle était devant lui. Mais à peine eut-il posé le pied dans ce lieu, qu’il se prit un violent coup dans la mâchoire. Il se releva et vit son agresseur, ils étaient face à face, mais Jidanro prit un autre coup, dans le dos cette fois, pourtant son adversaire n’avait pas bougé. Il allait donc devoir se battre contre deux personnes. Les deux foncèrent sur lui, il les bloqua, mais il vit trop tard qu’il y avait un troisième adversaire. Il reçut donc un autre coup, en plein visage.
<<_ Combien êtes vous encore ? Hurla Jidanro
_ Nous sommes trois ! Et nous allons te tuer.>>
À trois contre lui, ils avaient un net avantage, même si chacun d’eux auraient perdu en un contre un. Jidanro se prenait des volées de coups, mais il résistait, il n’avait pourtant donné aucun coup pour l’instant. Vu leur rapidité, il allait devoir frapper vite et fort, pour pouvoir les battre d’un coup. Mais en aurait-il la possibilité ? Parce que là, il ne voyait plus rien. Cela dépassait ces compétences, jamais il ne pourrait les battre, se disait-il. Pourtant une voix dans sa tête lui disait << Oublie tes peurs, concentre-toi. Frappe tant que tu le peux, reste debout, attaque, et alors, rien ne te résistera.>>
Jidanro comprit alors, il devait arrêter de se défendre, il devait attaquer. Il arrêta de bloquer les coups, ainsi, il pouvait attaquer rapidement. C‘est d’ailleurs ce qu’il fit. Le premier coup partit, son agresseur n’eut même pas le temps de le voir qu’il était déjà mort allongé une dizaine de mètres plus loin. Les deux autres voyant cela se ruèrent sur Jidanro, l’un fut projeté d’un coup de pieds, l’autre tomba, sa vie abandonnant son corps.
Sachant que le dernier n’était pas mort, il s’approcha de lui, et lui dit :
<<_ Pourquoi m’avoir attaqué ?
_ Je ne te le dirais pas, répondit l’autre
_ Tu as l’air de souffrir, j’abrègerai tes souffrances
_ De toutes façon, je n’ai plus de raisons de tenir à la vie. J’ai été envoyé ici sur ordre.
_ Sur ordre ? De qui ? Demanda Jidanro
_Un dénommé Thouga.>>
Jidanro le tua d’un coup, il l’avait su avant que l’autre n’ai répondu. Mais il était aussi très content. Il avait atteint un niveau encore plus grand.Pour lui, c’était l’apogée de son art. Il s’effondra, mort de fatigue.

N'hésitez pas à me dire se que vous en pensez^

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